Jambes cassées, cœurs brisés
L’histoire
”J’ai une mission à vous confier. Je veux que vous éliminiez mon mari. »
Cette requête est celle d’une vieille dame qui vient s’adresser à une toute nouvelle société : Le peigne de Cléopâtre. Elle veut qu’on la débarrasse de son mari qui la maltraite et elle est prête à payer le prix qu’il faudra pour ce service.
Le peigne de Cléopâtre est une PME qui propose de résoudre les problèmes des gens, mais ce n’était pas à ce genre de problème que les trois amis Anna, Mari et Fredrik s’attendaient. Devant cette demande incongrue, ils se rendent vite compte qu’ils ne savent pas grand-chose les uns des autres et qu’ils ignorent jusqu’où ils sont prêts à aller.
Le Peigne de Cléopâtre est un livre qui aborde les relations humaines, aux rebondissements inattendus et teinté de suspens. Un roman qui parle de vengeance et de réconciliation, du bien et du mal et de la nature imprévisible de l’être humain.
Lu dans la presse
Une bonne critique est toujours plaisante à lire. Celles-ci m’ont particulièrement touchée.
Une réussite d’intelligence et de drôlerie. (…) C’est décalé, inventif, c’est jubilatoire. (…) Quand un roman fait du bien, vous rend plus intelligent et vous fait rire, il s’agit de ne pas de manquer. La Savoie, France
Le Peigne de Cléopâtre : un grand « waouh », génial ! Ce roman contient plus de surprise qu’un œuf Kinder. Le livre est très bien écrit et l’imagination de la romancière absolument incroyable. Lorsqu’on a l’impression d’avoir tout compris, Maria Ernestam, d’une manœuvre rapide, bouleverse tout. Smålänningen
Maria Ernestam a la formidable capacité de relater des histoires énigmatiques, en éveillant l’imagination du lecteur, avec intensité et conviction. Je suis très impressionné par son habileté à détailler ses personnages, à les rendre vivants et à leur donner une âme. J’étais déjà séduit par l’écriture de Maria Ernestam avant de lire ce livre. Ses deux romans précédents, Caipirinha med Döden (Un Caipirinha avec la mort, non traduit en français) et Les Oreilles de Buster, dans des styles différents, sont formidables : une écriture étonnante de grande qualité que je conseille à tout le monde. Le Peigne de Cléopâtre mérite d’être lu autant que ses prédécesseurs. Sinon plus. La romancière apporte un souffle rafraichissant à l’épaisse jungle de la chick-littérature du polar suédois.
Maria Ernestam a l’art de façonner une histoire complètement dingue, et pourtant limpide, dans laquelle on parvient même à se reconnaître. Plaza kvinna
Un livre formidable. Au travers de ses personnages, la romancière invite le lecteur à comprendre que nous sommes tous capables de faire des choses que nous n’aurions jamais imaginé, et l’amène à s’interroger sur la vie, la mort et l’amour. Le livre, très bien écrit, peut nous tenir en haleine autant que nous émouvoir aux larmes. Bibliotekstjänst